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des travaux en cours

Tante (Ô mot maudit)

Emile Littré (1801-1881) est un vrai comique involontaire. Témoin cet article trouvé dans l'extraordinaire recueil La Pathologie verbale, ou lésions de certains mots dans le cours de l'usage : TANTE Tante, avec sont t mis en tête du mot, est un cas de...

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J. G. Ballard (1930-2009)

Des entretiens en version intégrale restituée : James Graham Ballard , écrivain extralucide A vec Crash (1973), il devient l’un des plus grands écrivains de notre temps. Depuis quarante ans il décrit sans complaisance aucune notre monde à venir, des récits...

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Il y a un serpent dans le bocal...

Peau douce de rose de lait, ai calculé ton espérance de vie, sais-tu que le Nombre t'accordes encore rien moins que 3,6 années ? Capturer deux jours sur les deux milles... Ai tant de questions ! Comment, par exemple, avais-tu construite cette chambre...

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Une époque fabuleuse

Ce (trop long ?) questionnement ci-dessous convoque sans doute encore et toujours la morale, la morale minimale. Prenons ici une fable, afin d'y voir encore moins clair, la lumière ça tue l'ambiance. Et un cynique qui énonce des concepts à la noix entre...

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En revenant de ton lycée

L’Orientation (sur un air de Barbara) Le sens de la formule Dans ta tête de mule Pour faire des émules Ai le courage de dire oui Vois, je te fais escorte Eh oui, te suis accorte Passage du bac, hort- Icole, ombré, de bois vernis, oui Venir là sur les...

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Intuition du sublime

A quoi bon vouloir tout expliquer par les mots du langage communément utilisé par une communauté d’humains nécessairement vague, disons, ici, les personnes qui comprennent le français et l’anglais ? En fait, la seule question intéressante, en définitive,...

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Dino Zoff

Dino, Pépé, Papa, Pierre et moi Tu dis souvent que tu détestes le foot mais tu sais bien que ce n’est vrai seulement qu’en partie : la raison est simple, tu étais toujours le goal, ta grande taille, ton mètre quatre-vingt dix à partir de dix-sept ans...

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Hôtel de passants

Hôtel de passants

Les petits hôtels, et mes quelques lecteurs le savent, me donnent souvent l'occasion d'une migration poétique. Je passe devant, je m'arrête, je regarde les fenêtres, parfois l'une d'elle laisse deviner une silhouette ou une petite culotte qui transpire...

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